GRHL - HISTOIRE LOCALE DE RIS-ORANGIS

Groupe Rissois d'Histoire Locale. Association "loi 1901"

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LA RN7 ENTRE 1950 ET 1960

LA RN7 ENTRE 1950 ET 1960LA RN7 ENTRE 1950 ET 1960

Deux photos aériennes des années 50 montrent la perspective de la route nationale et l'alignement des commerces depuis le coin de la rue du Pont.

À l'angle de la Route nationale et de la rue Edmond Bonté - (vers 1950-1960)À l'angle de la Route nationale et de la rue Edmond Bonté - (vers 1950-1960)

À l'angle de la Route nationale et de la rue Edmond Bonté - (vers 1950-1960)

C'est dans ces années qu'un Rissois avisé a eu la bonne idée de prendre une soixantaine de photos de la Route nationale et de la rue Edmond Bonté.
Il est vrai que depuis le début du XXe siècle, en dehors des véhicules à moteur qui avait remplacé les charrettes et rendu la voie plus dangereuse, l'aspect général du village n'avait guère changé et l'intérêt de ces photos réside dans la représentation de certains commerces et de nombreuses cours que cachaient les façades et qui ont aujourd'hui malheureusement disparu.

Photos du haut : à gauche : la pharmacie Plat, à droite l'entrée de la cour de l'ancienne prison durant la Révolution - Photos du bas : La villa FaustPhotos du haut : à gauche : la pharmacie Plat, à droite l'entrée de la cour de l'ancienne prison durant la Révolution - Photos du bas : La villa Faust
Photos du haut : à gauche : la pharmacie Plat, à droite l'entrée de la cour de l'ancienne prison durant la Révolution - Photos du bas : La villa FaustPhotos du haut : à gauche : la pharmacie Plat, à droite l'entrée de la cour de l'ancienne prison durant la Révolution - Photos du bas : La villa Faust

Photos du haut : à gauche : la pharmacie Plat, à droite l'entrée de la cour de l'ancienne prison durant la Révolution - Photos du bas : La villa Faust

De l'entrée du village en venant de Paris avec le relais Service en passant par l'Écu de France jusqu'à la rue Edmond Bonté, il a photographié un grand nombre de commerces tels la charcuterie de monsieur Adou, le magasins du vitrier monsieur Bettale et la pharmacie d'Auguste Plat.
Mais aussi les portes cochères, la cour du docteur Perrier, la Villa Faust ou la cour du n° 72 de la rue Albert Rémy (RN7) qui abrita pendant la Révolution une prison où quelques Rissois turbulents eurent le privilège de séjourner avant d'être jugés à Corbeil.

 

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